Après quasiment deux ans de frustration à cause de la pandémie mondiale, plusieurs reports successifs de séjours programmés à travers le monde, enfin la délivrance. A la toussaint, direction le continent africain pour la deuxième fois, Afrique de l’est et plus précisément en Tanzanie et son archipel Zanzibar. Au programme plages de sables blancs, plongées, savanes et forêts.
Une fois n’est pas coutume, mon séjour en Tanzanie s’est articulé entre photographie animalière et oisiveté ou plutôt pérégrinations en tous genres avec mon épouse à travers la fabuleuse île de Zanzibar, située dans l’océan indien. A ce sujet, les marées sont significatives, mais la houle est quasi absente, donc un véritable plaisir pour les yeux. Eau turquoise à 28 °C , inutile de vous dire que le snorkeling était de rigueur.
Sous protectorat britannique depuis 1890 Zanzibar a vu naitre en son sein une star internationale, plus précisément à Stone Town, il s’agit de Farrokh Bulsara. Ce nom ne vous dit peut être rien, un autre indice : Queen. Le chanteur Freddie Mercury est né en 1946 à Zanzibar. Cette dernière a obtenu son indépendance en 1963, et a intégré la Tanzanie en 1964. En conclusion, la Tanzanie est la contraction de deux anciens pays, le Tanganyika et Zanzibar qui sont devenus une fois réunifiés la Tanzanie. Autre particularité de ce magnifique pays, le toit de l’Afrique, le célèbre Kilimandjaro. Avec ses 5891 mètres d’altitude, il fait office de montagne emblématique incontournable pour des milliers de randonneurs qui l’arpentent chaque année en empruntant cinq voies possibles en fonction de la saison.
Deux endroits mythiques !
Pour ma part, je me suis cantonné au parc de Tarangiré avec sa faune abondante et son fameux cratère de Ngorongoro, singularité géologique et d’une beauté enivrante pour m’adonner à ma passion, la photographie animalière avec un certain regret de ne pas avoir eu le temps nécessaire pour gravir le Kilimandjaro.
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